Pages
Corpus fémoral
Aliénor Desclais
Anne Duhurt
Antoine Draï
Asuza Kurokawa
Aurélie Chenot
Brigitte Barateau
Bruno Jouhet
Christine Schaller
Christine Simon
Christophe Hess
Christophe Vixouze
Eliane Blaise
Émilie Poirier
Erik K
Ernesto Castillo
Fabrice Charbit
Florian Chamare
Franck Charlet
François Poyet
Freddy Rapin
Frédéric Limagne
Frédérique Loutz
Gilles Broussaud
Gladys Brégeon
Guido Hübner
Hervé Dauphin
Jean Duhurt
Jean Yves Roques
Jean-marc Gauthier
Jean-René Lassalle
Karim Ould
Kiki DeGonzag
Laurent Colomb
Léo Lag
LWO
Marc Pahud
Marco Caccialupi
Marie Rouault
Marina Goussina
Marine Vassal
Mathias Richard
Méryl Marchetti
Olfa Berhouma
Olivier Brunet
Olivier Gandiva
Pascal Gault
Patrice Cazelles
Patrick Trochou
Philippe Desclais
Philippe Fatus
Philippe Pommier
Pierre Stone
Rachel Dano
Ren Yashio
Riew Van Leemputten
Sébastien Péchenart
Sébastien Teisseire
Stéphanie Briand
Stéphanie Sautenet
Steve Dalachinsky
Svante Svahnström
Sylvie Duplan
Xavier Fatou
Yan Jun
Yves Tenret
Gladys Brégeon
Si les recherches plastiques de Gladys Brégeon évoluent principalement dans les champs du dessin, de l’estampe et du livre d’artiste, d’autres formes interfèrent volontiers, comme la poésie, la photographie, la vidéo, l’installation, la performance... à travers lesquelles elle explore obstinément l’image du corps autant que le corps de l’image.
Mathias Richard
Né en 1974 à Paris, Mathias Richard vit aujourd'hui à Marseille.
"Je travaille mon corps, je travaille ma voix, je travaille mes mots, je travaille ma pensée, tout va ensemble."
Poète, chanteur (Sexport, R3PLYc4N...), performeur, écrivain, il fonde en 2007 l'agrégat mutantiste (le Manifeste mutantiste 1.1 paraît en 2011 chez Caméras Animales, structure d’édition, label musical et organisation d'événements que co-dirige Mathias Richard ; le second volet, mutantisme : PATCH 1.2 y paraît en 2016). Déplorant la désertification culturelle et l’aseptisation du monde, son travail revendique une grande liberté formelle, la création de nouveaux genres et catégories.
Dans Anaérobiose (Le Grand Souffle, 2009) et Machine dans tête (Vermifuge, 2013), il privilégie les phrases interminables, les blocs de textes, les accumulations, invitant ainsi à « se plonger sans concession dans une pensée une expérience, comme des shoots, des téléchargements de tête, une plongée dans la nuit. ».
Son syn-t.ext (Tituli, 2016), texte compressé issu de tous les discours du monde, est salué comme « déjà un incontournable de l’écriture expérimentale actuelle » (Odile d'Harnois, Lectures au Cœur), « d'une audace sans précédent, à l'écart de ce qui s'expérimente sous le label littérature » (Véronique Bergen, La Quinzaine littéraire), « comme une explosion continue qui respire » (Claro).
Ses lectures-performances proposent une expérience existentielle quasi-musicale, où le sens émerge autant du texte que de sa mise en voix et en gestes ; l’implication du corps et l’expérience intérieure y sont prédominantes. Il s'est produit en France, en Belgique, en Suisse, en Espagne, en Allemagne.
On peut entendre sur France Culture quatorze de ses lectures regroupées sous le titre “La vie n'attend pas”.
En juillet 2019, il achève ce qu’il considère comme son grand œuvre, le livre À travers tout, fruit de cinq ans et demi de travail. Depuis, il se consacre exclusivement au chant et à la musique. La vibration jusqu'au bout.
« Mathias Richard est un écrivain hardcore : il cherche l'impact, par tous les moyens (textes, performances, musiques, images, éditions, corps...). » (José Lesueur, Cantos Propaganda)
« Mathias Richard est un poète, c'est-à-dire un type, un collectif, une construction, une humanité à l'essai, un humain qui tente. » (Frédéric Laé, Gare Maritime)
Site : mathias-richard.blogspot.fr
Livres publiés
- s y n – t . e x t (Tituli, 2016)
- mutantisme : PATCH 1.2 (collectif) (Caméras Animales, 2016)
- Machine dans tête (Vermifuge, 2013)
- Manifeste mutantiste 1.1 (Caméras Animales, 2011)
- Anaérobiose (Le Grand Souffle, 2009)
- Musiques de la révolte maudite (Caméras Animales, 2004)
"Je travaille mon corps, je travaille ma voix, je travaille mes mots, je travaille ma pensée, tout va ensemble."
Poète, chanteur (Sexport, R3PLYc4N...), performeur, écrivain, il fonde en 2007 l'agrégat mutantiste (le Manifeste mutantiste 1.1 paraît en 2011 chez Caméras Animales, structure d’édition, label musical et organisation d'événements que co-dirige Mathias Richard ; le second volet, mutantisme : PATCH 1.2 y paraît en 2016). Déplorant la désertification culturelle et l’aseptisation du monde, son travail revendique une grande liberté formelle, la création de nouveaux genres et catégories.
Dans Anaérobiose (Le Grand Souffle, 2009) et Machine dans tête (Vermifuge, 2013), il privilégie les phrases interminables, les blocs de textes, les accumulations, invitant ainsi à « se plonger sans concession dans une pensée une expérience, comme des shoots, des téléchargements de tête, une plongée dans la nuit. ».
Son syn-t.ext (Tituli, 2016), texte compressé issu de tous les discours du monde, est salué comme « déjà un incontournable de l’écriture expérimentale actuelle » (Odile d'Harnois, Lectures au Cœur), « d'une audace sans précédent, à l'écart de ce qui s'expérimente sous le label littérature » (Véronique Bergen, La Quinzaine littéraire), « comme une explosion continue qui respire » (Claro).
Ses lectures-performances proposent une expérience existentielle quasi-musicale, où le sens émerge autant du texte que de sa mise en voix et en gestes ; l’implication du corps et l’expérience intérieure y sont prédominantes. Il s'est produit en France, en Belgique, en Suisse, en Espagne, en Allemagne.
On peut entendre sur France Culture quatorze de ses lectures regroupées sous le titre “La vie n'attend pas”.
En juillet 2019, il achève ce qu’il considère comme son grand œuvre, le livre À travers tout, fruit de cinq ans et demi de travail. Depuis, il se consacre exclusivement au chant et à la musique. La vibration jusqu'au bout.
« Mathias Richard est un écrivain hardcore : il cherche l'impact, par tous les moyens (textes, performances, musiques, images, éditions, corps...). » (José Lesueur, Cantos Propaganda)
« Mathias Richard est un poète, c'est-à-dire un type, un collectif, une construction, une humanité à l'essai, un humain qui tente. » (Frédéric Laé, Gare Maritime)
Site : mathias-richard.blogspot.fr
Livres publiés
- s y n – t . e x t (Tituli, 2016)
- mutantisme : PATCH 1.2 (collectif) (Caméras Animales, 2016)
- Machine dans tête (Vermifuge, 2013)
- Manifeste mutantiste 1.1 (Caméras Animales, 2011)
- Anaérobiose (Le Grand Souffle, 2009)
- Musiques de la révolte maudite (Caméras Animales, 2004)
Kiki DeGonzag
Biographie :
Née en 1984 en Alsace. Artiste résidente à Motoco, Kiki DeGonzag a vécu à la Réunion, a été hospitalisée en HP, a perdu son chien et sa grand-mère il n’y a pas si longtemps, travaille avec des schizos, des bipos, des toxicos, est diplômée de la Haute Ecole des Arts du Rhin (Cru Mulhouse 2006). Raconte pas ta life ! est son premier roman, heu…recueil, biographie, enfin bref, son premier essai littéro-expérimentalo-amphibique. CORBEAU est un recueil de textes et de dessins en cours de composition.
Ernesto Castillo
Castilloutz
Production MAGP / Maison Daura résidences internationales d'artistes. Région Midi-Pyrénées pour le parcours d'art contemporain en vallée du Lot, 2012.
3 figures à 4 mains"La série de ces 20 tableaux réalisés à 4 mains dès leur arrivée à Saint-Cirq-Lapopie, constitue le laboratoire de départ pour Frédérique Loutz et Ernesto Castillo en résidence aux Maisons Daura.
L’immédiateté du sentiment d’être là, s’attache de suite à la proximité d’André Breton et donc à la pratique surréaliste du cadavre exquis : l’un commence, l’autre continue. Les rôles s’échangent : l’écrivain dessine et le peintre propose des mots.
Il s’agit de trouver des liens nouveaux, d’initier du mouvement, de laisser jouer les accidents du visible et de la matière, de faire bégayer la réalité, de frotter des mots et des sons, de figurer jusqu’au ridicule ou au grotesque, de détourner les limites, pour dessiner le nœud, le centre, pour retrouver, dans ce brassage intempestif, le sens même de la signification et faire émerger tout un corpus d’images nouvelles.
Les paysages entrent dans le jeu : la crypte, la rivière, les graines de la glycine, la chute des étoiles et des anges. La présence de l’eau et la visiblité de la transformation du relief incitent à l’évocation du liquide : le fleuve réel et celui de l’âme, les humeurs, la bile…
Les histoires de grottes, la trinité de Loth et ses filles, Jonas et le ventre de la baleine et d’autres figures émergent : la balance, le réel et le factice, la mélancolie – mélancopia c’est aussi le couple – qui fait dire à Frédérique qu’ à deux on règle mieux les problèmes qu’on aurait pas tout seul !
Ainsi, les textes imprimés sur les cartes postales participent de cette inversion des correspondances.
Frédérique Loutz et Ernesto Castillo essaient de provoquer des malentendus pour éveiller une présence dans la procédure et dans la production. Ils déguisent des choses très reconnaissables juste pour mettre en alerte une consistance du sens. Dans cette immersion, la question de la vérité devient alors obsolète, et une histoire de chair peut débuter."
Christophe Vixouze
Christophe Vixouze : PLastÜrgÎen Plasticien-poète crÔëte
Christophe Vixouze décide de s’engager dans une voie artistique en tant que peintre, dès l’adolescence. Il écrit également ses premiers textes poétiques.
Il est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1987.
Entre 1984 et 1989, il se forme auprès d’artistes plasticiens de renommée internationale en tant qu’assistant technique salarié d’une SARL spécialisée.
Il assiste techniquement Georges Noël, et il entretient une relation amicale avec Bengt Lindström et Chomo entre 1989 et 1991.
De 1991 à 1995, il vit à Chartres. Professeur d’Arts Plastiques dans des ateliers municipaux, et intervenant artistique dans les écoles, il continue sa recherche en atelier.
L’artiste réside depuis 1996 en Midi Pyrénées. Il participe à de multiples salons et expositions depuis 1982 et vend ses œuvres également en atelier et sur commande.
Toujours en quête d’expérimentations singulières, il réalise depuis quinze ans des actions performatives et poétiques devant un public averti, en solo, avec des compagnies de théâtre ou des musiciens. Il crée l’association Artesynergia/Laboratoire d’Art Expérimental en 2009, dont il est le directeur artistique.
Le collectif RÜKA lui propose une première intervention sur la scène du théâtre de l'Atalante à Paris (festival Trois6neuf) en 2012 en tant que récitant, sur la base de ses textes; et une aventure interdisciplinaire commence, sur projets de poésie sonore & enregistrements CD.
En spectacle, Christophe Vixouze mêle une scénographie plastique à une diction réactive avec le ou les musiciens performeurs.
LWO
Du plaisir de créer et de le faire partager : une création placée sous
le signe de la découverte, de la rencontre, et de l’expression directe.
multiplie les expériences et les rencontres pour explorer de
nouvelles formes de création dans différents domaines (arts plastiques,
nouveaux médias, musique, poésie, performance)
Ses oeuvres ont été exposées aussi bien dans des lieux institutionnels
(Palais de Tokyo / Paris, Arts House / Singapour, Museum of Contemporary
Art / Chicago) que dans des lieux alternatifs (Théâtre de fortune /
Paris, Moulin Joly / Paris, Butler's Warf / Londres), voire insolites
(Temple indien / Tirukkalikundram, Léo Tailleur / Paris, Central Park /
New-York).
LWO station
le signe de la découverte, de la rencontre, et de l’expression directe.
multiplie les expériences et les rencontres pour explorer de
nouvelles formes de création dans différents domaines (arts plastiques,
nouveaux médias, musique, poésie, performance)
Ses oeuvres ont été exposées aussi bien dans des lieux institutionnels
(Palais de Tokyo / Paris, Arts House / Singapour, Museum of Contemporary
Art / Chicago) que dans des lieux alternatifs (Théâtre de fortune /
Paris, Moulin Joly / Paris, Butler's Warf / Londres), voire insolites
(Temple indien / Tirukkalikundram, Léo Tailleur / Paris, Central Park /
New-York).
LWO station
--
"Hell echoes": une série de plus de 700 dessins noir et blanc grand
format
format
Une invitation à explorer les ténèbres, avec un blanc au service du
noir, convoquant la lumière pour mieux l'engloutir. Le dialogue entre
ces deux couleurs (non-couleurs diront certains) tourne au duel et à la
soumission réciproque dans un combat fratricide. Ils se renforcent tout
en se réduisant. Ils s'opposent et s'entrelacent, comme la matière et
l'anti-matière, le plein et le vide, le bien et le mal. Les partenaires
prennent plaisir aux rapports incestueux, chacun prenant à son tour
possession des valeurs de l'autre. Dans
certains cas, le blanc révèle sa tristesse et son abandon alors que le
noir exprime sa douceur et sa sérénité. A d'autres moments, le noir
devient référence morale alors que le blanc plonge dans la déchéance. Le
passage de l'un à l'autre est souvent ambigu. Comment s'effectue notre
regard ? Suivant les peuples, ils
sont tour à tour couleur de deuil ou de mariage. Les matérialistes
diront qu'au final, c'est la mort qui l'emporte. Pour d'autres l'esprit
transcende.
--
noir, convoquant la lumière pour mieux l'engloutir. Le dialogue entre
ces deux couleurs (non-couleurs diront certains) tourne au duel et à la
soumission réciproque dans un combat fratricide. Ils se renforcent tout
en se réduisant. Ils s'opposent et s'entrelacent, comme la matière et
l'anti-matière, le plein et le vide, le bien et le mal. Les partenaires
prennent plaisir aux rapports incestueux, chacun prenant à son tour
possession des valeurs de l'autre. Dans
certains cas, le blanc révèle sa tristesse et son abandon alors que le
noir exprime sa douceur et sa sérénité. A d'autres moments, le noir
devient référence morale alors que le blanc plonge dans la déchéance. Le
passage de l'un à l'autre est souvent ambigu. Comment s'effectue notre
regard ? Suivant les peuples, ils
sont tour à tour couleur de deuil ou de mariage. Les matérialistes
diront qu'au final, c'est la mort qui l'emporte. Pour d'autres l'esprit
transcende.
--
Philippe Pommier
Philippe Pommier, comédien performeur, j’ai écrit une pièce de théâtre ‘Les ordonnances de l’aveugle’ présentée à Anigras, puis deux performances dansées : ‘Alicante’ à L’échangeur et ‘Je suis le fils orphelin de David Lynch’ à Anigras. Un texte a été publié dans un ouvrage collectif ‘Bocal Urbain’ aux Editions de la Gare.
Je donne des ateliers de théâtre et d’écriture (Passages d’écriture).
Courriel : phil.pom@hotmail.fr
Inscription à :
Articles (Atom)